Gravés dans la pierre

Premier jet

En toute chose, le principal, c’est de se lancer… et c’est désormais chose faite avec ce tout premier billet ! Commençons par le commencemen...

mercredi 27 août 2025

Du texte aux dessins : ma première aventure d’illustratrice d’un livre

Je dois bien l’avouer : dans la panique qui a suivi dans ma tête, je ne me rappelle plus vraiment comment l’idée d’illustrer moi-même mon livre est arrivée sur la table. Sans doute une sombre histoire de budget serré, histoire d’être certaine que le projet verrait bien le jour. Depuis ma première proposition à mon éditeur, j’ai fait un certain nombre de choix pour concilier la vision que j’avais de mon ouvrage avec une facture plus légère pour la maison d’édition (tout ça pour m’assurer qu’il ne serait pas annulé en cours de route). J’ai donc opté pour un tout noir et blanc, sans la moindre nuance de gris et les complications graphiques qui vont avec. Quand s’est posée la question de l’habillage, nous avons d’abord réfléchi à un livre sans dessin (les photos étant totalement hors de question pour des raisons évidentes de droits), avant de pencher vers des petites icônes rappelant l’univers, mais libres de droit. C’est sans doute à ce moment-là que, face à mes très nombreuses remarques et attentes, et forte des quelques croquis (5 ou 6, pas plus) que j’avais réalisés pour le Guide de Poudlard, il a été évoqué que je pourrais peut-être m’occuper moi-même des illustrations.

Première illustration du "Manoir Addams"
Dans une première idée le manoir était vu en partie


Après quelques réunions intenses… avec moi-même, nous avons décidé d’un commun accord que ce serait le meilleur moyen de garder un contrôle quasi total sur la construction du livre et son esthétique. Toutefois, si je dessine depuis l’enfance, je n’ai jamais vraiment développé de style propre, me contentant le plus souvent de reproduire les illustrations de mes mangakas favoris. Et pour ne rien arranger, j’avoue avoir un peu délaissé mes crayons ces dernières années au profit de l’écriture. Autant dire que je n’ai pas abordé ce nouveau défi sereinement.


Tablette pratique

Ma tablette "XP Pen 13.3 Pro"

La première étape a été de m’équiper. J’avais déjà une tablette graphique (sans écran), mais je suis incapable de dessiner sans regarder ma main. Résultat : devoir fixer l’écran tout en bougeant le stylet ailleurs me ralentissait énormément, et ce même si je ne suis déjà pas la plus rapide du monde. L’avantage, c’est que j’ai pu expérimenter différents logiciels et finir par adopter Krita, un programme gratuit et complet que j’utilise désormais en permanence. Mais il me fallait passer au cran supérieur. Après avoir recueilli quelques conseils auprès de pros, j’ai finalement investi dans une XP Pen Artist 13.3 Pro. Pas encore du matériel de pointe, certes, mais avec écran intégré et toutes les fonctionnalités que je recherchais, tout en respectant mon budget. Me voilà donc prête à me lancer dans le numérique… sauf que mes premières ébauches, devinez quoi ? Elles se sont faites sur papier !

Recherche Mercredi désespérément !


Evolution en dessin de "Mercredi"
Evolution en dessin de Mercredi

Au fil de l’évolution du manuscrit, un certain nombre de dessins ont germé dans ma tête. Mais avant de les concrétiser, il fallait que je trouve un style cohérent et que je m’y tienne. La contrainte que je m’étais imposée – pas de dégradés de gris – compliquait encore les choses. Ma première mission a été de trouver ma version de Mercredi. Ce ne fut pas une mince affaire : mes croquis partaient dans tous les sens. Parfois trop expressive, parfois trop éteinte… mais jamais satisfaisante. J’ai tout essayé : un style manga (retoqué immédiatement par mon éditeur – et avec le recul, je comprends pourquoi) et un style plus burtonien pour rendre hommage à l’ambiance de la série. Finalement, à force de m’arracher les cheveux, j’ai décidé de passer directement sur la tablette. Et c’est là que j’ai enfin trouvé ma Mercredi. À partir de là, tout a coulé de source… ou presque, car j’ai dû m’entraîner dur sur les mains (mon point faible absolu) pour donner vie à La Chose.

"Illustratrice" ça ne s'improvise pas
Travail sur les mains

Artiste moi ? Je suis pas sûre...

Étant totalement autodidacte, j’ai toujours admiré les artistes capables de créer même quand ils n’en ont pas envie. Moi, je suis incapable de sortir le moindre trait correct si l’envie n’est pas là. Mes périodes créatives sont complètement aléatoires, aussi bien en durée qu’en intensité, et il m’est arrivé plus d’une fois de ranger ma tablette dans un coin pendant des semaines. Autant dire que ce fut une source de stress considérable : entre ma lenteur de tortue, mes phases de “blocage total” et la petite voix perfide qui me répétait que mes illustrations risquaient de desservir le livre… l’aventure a parfois eu un goût amer. Mais après avoir muselé tant bien que mal mon cerveau, j’ai fini par livrer des dessins dont je suis fière. J’ai travaillé main dans la main avec mon maquettiste, Steeven, du début à la fin, échangeant sans cesse nos idées pour habiller les pages comme il se doit.

Illustration finale du manor Addams
Finalement j'ai opté pour une vue entière du manoir

208 pages, 6 mois de travail et 1001 angoisses

Aujourd’hui, le livre est terminé et sur le point d’arriver en librairie. Et voilà que toutes mes craintes remontent d’un coup : peur du rejet des lecteurs, peur des critiques des professionnels du dessin qui croiseront la route de ma Mercredi. Mais malgré tout… je sais que je n’aurais pas pu, ni voulu, faire autrement. Mercredi ou l’héritage de la Famille Addams est exactement tel que je l’ai rêvé et surtout conçu.

"La Chose" illustration


Et vous ?

Avez-vous déjà osé vous lancer dans un projet créatif qui vous semblait trop grand pour vous ? Peut-être un dessin, une histoire, une peinture ou même une chanson ?

Croyez-moi, parfois, il suffit juste d'un coup de pouce ou de crayon !

mercredi 20 août 2025

Mes sources d'inspiration bizarres mais fidèles



On me demande parfois d’où me vient l’inspiration. Et je réponds toujours la même chose : de partout, tout le temps, et parfois de là où même moi je ne m’y attend pas. Entre éclairs de génie que je n’ai souvent pas le temps d’attraper et idées qui me percutent parfois sans prévenir au détour d’un écran, voici un petit tour (non exhaustif) de ces influences qui nourrissent mon imaginaire, des plus classiques aux plus… étranges. 

Premier contact : des muscles et des hommes

Pendant que d’autres enfants se construisaient sur Oliver et Compagnie ou La Petite Sirène, moi c’était… Conan le Barbare. Oui, ce film où Arnold parle peu mais tape fort, sur fond de monde fantastique et de magie noire.
C’était mon premier film et si j’ai eu droit à la version édulcorée par mon père, ce fut mon premier choc cinématographique. Je vous laisse deux secondes pour digérer.
Depuis, j’ai un faible incurable pour les héros mutiques, les quêtes pleines de désespoir, les répliques épiques et les musiques orchestrales qui crient « DESTINÉE » à chaque plan. Et pour les épées… surtout pour les épées !

Le Seigneur des Anneaux : tu ne passeras… pas à côté

Et puis il y a eu L’Histoire sans Fin, qui m’a donné envie d’entrer dans les livres, littéralement. Le concept de monde parallèle qui répond à nos émotions ? Ça m’a hantée pendant des années et m’a donné envie de découvrir les versions papier de mes films de chevets, puis par extension, tous les autres univers encore inexplorés par mes soins. Tout y est passé : Princess Bride, Dracula, et surtout… Le Seigneur des Anneaux !

Tolkien, c’est mon code source. Si Conan a forgé la hache, Le Seigneur des Anneaux en a affuté la lame. C’est là que j’ai appris l’art de la création d’une mythologie, le goût des cartes et des langues inventées et l’amour des héros tragiques. 

Tim Burton : La référence de l’ombre

Des squelettes déprimés, des barbiers chantant, des cavaliers sans tête… J’ai grandi avec l’univers de Burton comme on grandit avec un frère un peu goth et totalement génial. J’y ai appris que l’étrangeté peut être belle, que les freaks sont souvent les plus sincères… et que la coiffure, c’est surfait.

Oui, je plaide coupable : Tim Burton c’est pour moi LA référence cinématographique, quelque part entre Beetlejuice et Les Noces funèbres. Ce mélange d’esthétique gothique et de tendresse maladroite a façonné mon goût pour les mondes un peu tordus, peuplés de marginaux bouleversants. Je dois une fière chandelle au réalisateur pour m’avoir montré qu’un monde pouvait être sombre sans être dénué de beauté, et qu’on pouvait tout à fait faire partie des créatures bizarres, et le revendiquer, sans pour autant vivre en marge de l’humanité.

Jim Henson : la magie en latex

De Dark Crystal à Labyrinthe en passant par Monstres et Merveilles, Jim Henson m’a initiée à la poésie de l'étrangeté. Des marionnettes souvent cauchemardesques mais attendrissantes, des univers d’une richesse folle et des créatures en mousse qui pleurent plus sincèrement que certains humains. C’est peut-être là que j’ai compris que le biscornu n’est pas obligatoirement l’ennemi de l'émotion.

Devil May Cry : l’élégance des gros sabots

Parlons peu, parlons Dante. Devil May Cry, c’est un mélange d’action déjantée, de punchlines inoubliables et de combats stylés en diable. Est-ce que ça crie “subtilité” ? Non. Mais est-ce que ça m’a appris à lâcher prise et à m’amuser avec mes persos ? Absolument.
Et puis, soyons honnête : un demi démon ténébreux qui se bat avec une grosse épée sur fond de guitare électrique… comment ne pas être inspirée ?

Persona 5 : La rébellion du Joker

Parce qu’un héros silencieux qui se cache derrière un masque et fait tomber les faux-semblants des autres, c’est exactement le genre de personnage que j’affectionne, Persona 5, c’est ma masterclass en narration visuelle. J’y ai appris qu’on pouvait être profond, drôle, mélancolique et ultra classe en même temps. C’est un peu ma caution “je suis dark mais j’ai de l’humour”.
Et cette OST… mon Dieu, cette OST. Je l’écoute en écrivant et soudain, mes personnages ont l’air plus cool que moi. (Certes ça n’a rien de difficile, mais quand même, ça reste un tantinet vexant.)

Vampires, ghouls et autres saigneurs de la nuit

Les créatures de la nuit, c’est mon pêché mignon. Entre Dracula et Tokyo Ghoul, j’ai toujours aimé les figures qui errent entre deux mondes. Des êtres qui doutent, qui luttent, qui saignent (littéralement), mais qui cherchent un sens à leur existence.

Peut-être que c’est ça, ma vraie source d’inspiration : des monstres parfois plus humains que les hommes et qui veulent désespérément trouver leur place dans le monde et un but à leur existence.

Fullmetal Alchemist : la loi de l’échange équivalent

Deux frères, un cercle de transmutation, des conséquences irréversibles. FMA, c’est mon étalon pour écrire des liens familiaux intenses et des univers cohérents jusqu’au moindre engrenage. Et si je parle souvent d’héritage, de transmission, de fautes passées… vous savez maintenant pourquoi.

Mon quotidien, ce multivers parallèle

Entre les gens chelous dans le métro (et croyez moi je suis loin d’avoir la palme), les pubs mal foutues, les réflexions inattendues qui m’arrivent du wagon derrière moi (et oui, je vous entends, même pendant que je conduit !) et les dialogues absurdes avec mes proches, j’ai de quoi faire.

D’ailleurs, j’adore incorporer de la magie ou du fantastique dans un quotidien banal, voire réadapter des évènements historiques avérés pour les expliquer par le prisme du surnaturel. Et chaque petit détail, chaque conversation lunaire, peut alimenter mes délires littéraires ou inspirer un bel intertitre. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout… est recyclable.

Je ne crois pas à l’inspiration tombée du ciel. Je crois à l’œil qui traîne, à l’oreille attentive, au cœur qui bat pour des singularités qui ne ressemblent à rien et tant mieux si mes sources sont bizarres, au moins, elles me sont fidèles !

mercredi 13 août 2025

Petits secrets et grandes galères en coulisses du monde des sorciers

 🧹 La genèse du projet (et autres catastrophes organisationnelles)

Tout a commencé lorsque mon épousé a accepté en mon nom l’écriture d’un ouvrage censé prendre place dans la collection “100 trucs” proposée par Omaké Books et ce, sans même que je sois au courant ! Après moult refus de ma part en mode “Non, vraiment c’est pas possible, je n’y arriverais jamais!”, il a su trouver les arguments magiques pour me convaincre de ne pas laisser passer cette opportunité, et malgré la peur qui me nouait les entrailles j’ai fini par céder. 

Mais tant qu’à dire “oui”, autant le faire avec panache : je ne voulais pas d’un banal “100 trucs” de plus. Il fallait absolument que je lui donne ma patte, tout en respectant le cahier des charges déjà établi. Et pour moi, tout commence par un titre : dès qu’il est là, le livre existe déjà un peu dans ma tête.

Le concept ? Compiler 100 anecdotes plus ou moins connues sur la licence culte de J.K. Rowling. Partant de ce postulat, le titre m’est apparu aussi limpide qu’un sortilège de Revelio : Harry Potter – Petites histoires et grands secrets du monde des sorciers.

Sauf que l’idée, c’est comme un Niffleur. C’est mignon, mais une fois lâché, ça met le bazar partout. Très vite, je me suis retrouvée avec 132 fichiers, 14 carnets, et un tableau Excel qui ressemblait à une Carte du Maraudeur version ultra HD sous stéroïdes.

📚 Recherches magiques (et dépenses tragiques)

J’ai donc plongé dans des recherches approfondies sur cet univers que j’aime depuis toujours. Par bonheur, ma bibliothèque personnelle est déjà bien fournie (avec parfois trois exemplaires différents du même livre, ne me jugez pas), ce qui m’a permis de commencer dans une relative sérénité.

Pour le reste, Amazon est devenu mon dealer de parchemins, et ma carte bleue a pleuré toutes les larmes de son code PIN. Oui, je préfère bosser sur des éditions physiques. Et non, je ne jette jamais les bouquins après usage. Ma bibliothèque est en burnout, c’est dire !

La "collection" qui m'a servi de sources


✍️ L’écriture

Pour un premier livre, j’ai préféré laisser de côté mes analyses et théories persos. Si j’en suis bien l’autrice, je me contente ici de relater des faits vérifiés, tous écrits ou validés par J.K. Rowling. Pas de zones grises : seul le canon fait foi et pour moi c’est elle qui le détermine. En ce sens, même s’il est le point de départ de tout, ce livre est paradoxalement celui dans lequel il y a le moins de moi.

Une fois les recherches terminées (en mode speedrun vu les délais serrés), il ne me restait qu’un mois et demi pour écrire mes 100 anecdotes. Il a d’abord fallu les lister, leur trouver un titre, et surtout… faire rentrer chaque anecdote dans 1500 signes, espaces compris (sinon ce n’est pas drôle). Certaines ont dépassé la côte d’alerte, mais heureusement, mon maquettiste était aussi patient que talentueux.

🖼️ Et la maquette ?

Là-dessus, on a tout de suite été d’accord avec mon éditeur : on voulait du grimoire. Un livre qu’on ouvre comme un vieux manuel interdit, déniché au fin fond de la bibliothèque de Poudlard.

On voulait aussi un petit prix, pour que le plus grand nombre de fans puisse l’acheter sans devoir vider leur coffre à Gringotts.

Évidemment, comme il s’agit d’un livre non officiel, il était hors de question d’utiliser des visuels issus des films. Qu’à cela ne tienne : Steeven, mon maquettiste de choc, a fait des merveilles. Et cerise sur le gâteau : le papier granuleux utilisé (remplacé en cours de route pour cause de budget) a renforcé l’effet grimoire. Comme quoi, certains imprévus relèvent parfois du miracle.

🎉 Bilan : aucune chouette n’a été maltraitée pendant l’écriture

Et voilà, ce petit recueil est né. Un hommage modeste mais sincère à une saga qui a enchanté des générations. J’en suis sortie un peu frustrée de ne pas avoir pu tout dire… mais j’ai vite compris que ce n’était que le début de l’aventure.

"Natacha Rocca" en dédicace


mercredi 6 août 2025

Mercredi, les Addams et moi…


Mercredi ou l'héritage de la Famille Addams

Auteur : Natacha Rocca

Éditeur : ‎Omaké books

Date de publication‏ : ‎4 septembre 2025

Nombre de pages‏ : ‎208 pages

Âge de lecture‏ : ‎Dès 12 ans

Prix : 24,90 €

Plongée dans les coulisses d’un héritage aussi gothique qu’iconique

Il y a des univers qu’on ne choisit pas, ce sont eux qui vous choisissent. Chez moi, les Addams sont de ceux-là. Entre les séances de torture en mode jeux d’enfants, les valses au clair de lune et les répliques qui piquent comme une épine des roses de Morticia, c’était presque une évidence : un jour ou l’autre, je devrais leur rendre hommage.

C’est désormais chose faite avec Mercredi ou l’héritage de la Famille Addams, mon tout dernier ouvrage dès aujourd’hui en précommande chez Omaké Books et qui sortira le 4 septembre 2025.

Lien pour les précommandes


Mais attention, s’il ne s’agit pas ici d’inventer une nouvelle aventure, le lecteur vivra tout de même une étrange aventure en suivant Mercredi Addams dans une visite guidée du manoir Familial. Pour autant, il s’agit en grande majorité d’un ouvrage non fictionnel, qui retrace l’évolution des personnages à travers leurs nombreuses adaptations : de la bande dessinée de Charles Addams à la série Netflix, en passant par les films cultes des années 90. Un petit tour dans les catacombes de la pop culture pour comprendre comment cette famille hors normes a traversé les époques — toujours plus étrange, toujours plus séduisante, mais jamais has-been.

🎬 Pourquoi Mercredi ?



Parce qu’elle est devenue au gré des adaptations bien plus qu’un personnage secondaire. Elle est l’incarnation parfaite du regard acéré que porte la famille Addams sur le monde : noir, drôle, désabusé mais profondément sincère. Mercredi est passée de la petite fille cynique en tresses à une héroïne à part entière, et c’était le moment idéal pour explorer cette transformation.


📖 Un livre pour les fans… et les curieux

Que vous ayez découvert les Addams grâce à la série des années 60, aux films cultes de Barry Sonnenfeld ou à la dernière relecture signée Tim Burton sur Netflix, il y a fort à parier que vous tomberez, au fil des pages, sur quelques anecdotes bien planquées que vous ne connaissiez pas encore. Parce que c’est aussi ça, mon petit plaisir : fouiller, gratter, exhumer les détails que personne ne remarque… et vous les glisser dans un livre de 208 pages (pile poil). Et pour pousser l’hommage jusqu’au bout de la chose, j’ai semé ça et là mes propres dessins et croquis, en l’honneur de la plus gothique des familles américaines — et de leur joyeuse bande de monstres attachants.



💀 En bref ?

Mercredi ou l’héritage de la Famille Addams est une déclaration d’amour un peu tordue à cette étrange famille qui a su imposer son style, son humour, et son goût pour l’inhabituel. Le tout servi avec des citations, des clins d’œil et un plaisir évident de fouiller les tiroirs secrets du manoir Addams.



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